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Et si le vrai courage des leaders, c’était d’oser demander de l’aide ?

Dernière mise à jour : 26 août

Le jour, je suis CEO, DG, CCO, CFO ou n’importe quel acronyme à trois lettres.


Je motive, je tranche, je rassure.

Je souris en visio, j’active les leviers, je parle “vision” et “impact”.

J’ai même un mug marqué “Boss”. Cadeau ironique d’un collaborateur.


Tout roule.

Sauf que…


🫥 Le soir, je rentre chez moi, épuisé(e). Mon fils me demande : “Pourquoi tu regardes dans le vide ?”

Ma moitié pose la main sur mon épaule : “Tu es là, mais pas vraiment.”


J’enlève la veste. J’éteins le téléphone. Je redeviens Clark. Fatigué. Humain. 


Je me surprends à googler “Comment ne pas perdre pied quand tout repose sur vous”.


👉 Ce qu’on ne voit pas :


• L’angoisse de devoir décider… quand rien n’est clair.

• Le poids d’un “oui” qui engage des familles entières.

• Ces nuits blanches avant un plan social.

• Ces mails envoyés à 22h pour motiver une équipe… alors qu’on vacille soi-même.

🎭 La vérité, c’est qu’il y a souvent deux personnes dans la peau d’un dirigeant :


Celui ou celle qui incarne, inspire, pilote.

Et celui ou celle qui doute, s’épuise, se demande s’il faut continuer à faire semblant.

Mais les deux coexistent. Et c’est ok.


💡 Et si la prochaine vraie révolution managériale, c’était d’oser dire : aujourd’hui, j’ai besoin d’aide.


Qui vous accompagne dans ces moments où le costume pèse trop lourd ? 

ree



 
 
 

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